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Actu france: trois ans plus tard, où en sommes-nous ?

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Trois ans après le début de la pandémie de SRAS-CoV-2, le virus circule à faible niveau en France et en Europe. Cependant, les effets secondaires liés à la vaccination augmentent. Explications avec Jean-Marc Sabatier*, docteur en biologie cellulaire et microbiologie.

injection d'un vaccin - credit freepik
injection d’un vaccin – crédit freepik

En mars 2020, vous avez annoncé que le virus SARS-CoV-2 dérégule un système physiologique ubiquitaire, appelé le système rénine-angiotensine (RAS), et que ce système était responsable des maladies liées au Covid-19. Trois ans plus tard, confirmez-vous votre première analyse ?

Après trois ans de cette pandémie, les différentes études de recherche à travers le monde confirment pleinement le mode d’action atypique du virus SARS-CoV-2 que nous décrivions début 2020. Les différentes pathologies décrites par anticipation à l’époque sont désormais vérifiées.

Quelles pathologies sont concernées ?

Le récepteur AT1R suractivé du système rénine-angiotensine (RAS) est capable d’attaques multiples sur les différents tissus et organes du corps humain, par ses propriétés pro-hypertensives, pro-inflammatoires, pro-angiogéniques, pro-thrombotiques, pro-oxydantes. , propriétés pro-hypoxémiantes, pro-fibrosantes et pro-hypertrophiantes. De plus, il diminue le monoxyde d’azote impliqué dans les phénomènes inflammatoires, immunitaires et mnésiques.

Le récepteur ACE2 de la protéine de pointe

Ces différents effets indésirables sont liés à l’ubiquité du récepteur cellulaire ACE2 (enzyme de conversion de l’angiotensine 2), cible majeure de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 et de la protéine de pointe vaccinale. En effet, le récepteur RAS ECA2 est présent sur de nombreux types cellulaires (cellules épithéliales, cellules endothéliales, cellules nerveuses, cellules du système immunitaire, etc.) et explique les différentes pathologies du Covid-19 dues à la suractivation du récepteur AT1R (appartenant également à RAS). Parmi ces pathologies figurent le diabète, les dyslipidémies, les maladies auto-immunes, les cancers, les dermatites, les troubles oculaires et auditifs, les troubles cardiaques, diverses maladies inflammatoires (vascularite, conjonctivite, uvéite, encéphalite, hépatite, pancréatite, thyroïdite, myocardite, péricardite, atteinte des organes reproducteurs, etc.), et des troubles neurologiques

Les conséquences de la vaccination

Aujourd’hui, trois ans après le début de la pandémie, alors que le virus semble en forte régression, notamment en France, les effets secondaires augmentent fortement. Comment peux-tu expliquer ça?

Ce sont les conséquences conjointes de l’infection virale et de la vaccination. La capacité d’une certaine proportion de la protéine de pointe vaccinale (produite par les vaccins à ARNm principalement utilisés dans le monde) à se lier au récepteur ACE2, comme le fait le virus, et les multiples rappels vaccinaux, expliquent cette augmentation des pathologies Covid. On compte, notamment en France, plus de deux millions de personnes souffrant de séquelles post-Covid ou post-vaccination (17 millions en Europe) : augmentation des fausses couches, troubles cardiovasculaires, troubles neurologiques, troubles digestifs, troubles sexuels…
L’importance du SRA au niveau des organes reproducteurs masculins et féminins (spermatogenèse, maturation des ovocytes, production d’hormones sexuelles, et son rôle clé dans le développement du fœtus), apportent des réponses scientifiques à ces pathologies liées à la fertilité.

Ces vaccins n’ont donc pas rempli leurs objectifs ?

Ces vaccins, qui n’empêchent ni l’infection des individus, ni la transmission interindividuelle du SARS-CoV-2, montrent trois ans plus tard leurs limites et leurs effets potentiellement « délétères » sur l’organisme humain. Ainsi, le rapport bénéfice-risque tant vanté au début de la vaccination, s’avère aujourd’hui très défavorable. Les dégâts déjà observés ne sont probablement que la pointe de l’iceberg. Espérons que le pire ne soit pas encore à venir…
Qui est – et qui sera – responsable de cela ?

jean marc sabatier
Jean-Marc Sabatier (DR)

*Jean-Marc Sabatier est directeur de recherche au CNRS et titulaire d’un doctorat en biologie cellulaire et microbiologie et d’une HDR en biochimie. Rédacteur en chef des revues scientifiques internationales : « Coronaviruses » et « Infectious Disorders – Drug Targets ». Il parle en son propre nom.

Covid : recueil des articles censurés de Jean-Marc Sabatier en anglais et espagnol

Bibliographie :

Histoire de la Nouvelle Calédonie – Un territoire et un peuple éloignés de la France.,Références de l’ouvrage.

La France de 1848 à 1914.,Lien sur la description .

Quoi ? Toute seule !.,Lien sur la fiche de présentation de cet ouvrage.